Entre les employés de VALE, les salariés de la SLN, et les sous-traitants impactés… C’est une somme de près de 300 millions de francs par mois qui doit être trouvée, pour verser les chômages partiels. La caisse n’a pas les moyens de financer cet afflux de demandes. Le conseil d’administration a voté à l’unanimité une demande de financement exceptionnel au gouvernement, pour être aidée à court terme. La CAFAT va aussi devoir jongler, à partir de la trésorerie des autres dispositifs, pour verser les premiers mois de chômage partiel. Cette somme devra aussi être remboursée. Le conseil d’administration de la caisse pourrait également entamer des recours devant les tribunaux. La justice pourrait être saisie, et amenée à se prononcer sur le préjudice économique auquel doit faire face aujourd’hui la CAFAT, afin d’assurer la protection sociale des calédoniens.
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La caisse tenait un conseil d'administration pour étudier l'afflux de demandes de chômage partiel, provoqué par les blocages contre les sites miniers.
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