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Ces effectifs viennent en renfort de la police qui est déjà présente sur le terrain. Malgré la baisse des exactions, la nécessité d’une présence policière est toujours nécessaire. En témoignent les différents feux, notamment à la salle Anewy, et les quelques affrontements entre émeutiers et forces de l’ordre. 

Le Commissaire Alexis Marsan est coordonnateur DGPN pour la Nouvelle-Calédonie. Ecoutez ses précisions.  

La vie des habitants reste bouleversée

Difficile de reprendre une vie normale quand la quasi-totalité des commerces a été brûlée ou pillée. "Depuis le 13 mai, j'ai perdu près de 50% de mon chiffre d'affaires" confie Glenn, propriétaire de la boulangerie Parisiana, un des derniers commerces encore ouvert à la Vallée-du-Tir. "L'activité est compliquée. Peu de commerces souhaitent rouvrir dans le quartier et les gens ont peur de revenir" continue-t-il. 

Du côté des habitants, si certains se disent rassurés par la présence des forces de l'ordre, d'autres avis sont plus nuancés. 
 

 
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15 à 20 gendarmes sont désormais présents dans le quartier et interviennent en coordination avec la police.