Thématiques
Sous-titre
Nouvelle étape ce matin pour la célébration des 70 ans du naufrage de la Monique, avec l’inauguration d’une fresque « street art », peinte à l’arrière du musée maritime.
Contenu structuré

Après l'inauguration d'une stèle Baie de la Moselle, des descendants des naufragés de la Monique, le président de l’association éponyme Louis-José Barbançon, mais aussi le membre du gouvernement en charge notamment des transports Gilbert Tyuiénon, le général Putz, le vice-recteur Didier Vin-Datiche, et bien sûr la directrice du musée maritime Valérie Vattier, étaient présents ce matin pour inaugurer cette fresque vibrante de couleurs, réalisée par l’artiste Alejandra Rinck-Ramirez. Un endroit hautement symbolique, pour Louis-José Barbançon, tout comme l’était le travail de chant et de danse d’enfants de primaire de Maré, comme un trait d’union entre Nouméa, d’où était parti le caboteur ; et Maré, d’où il a été vu pour la dernière fois.


Pour l’association « La Monique », le caboteur et la mémoire de ses naufragés devaient vivre à nouveau par l’expression de l’art. C’est chose faite avec cette fresque.


A compter du 4 août prochain, une exposition située au niveau la mezzanine du musée maritime, intitulée « La Monique ou le silence de la mer », va retracer durant plusieurs mois l’histoire et le drame du caboteur. Le musée, qui a aussi lancé avec le vice-rectorat un concours de bandes dessinées ; les œuvres seront exposées à partir de fin octobre au rez-de-chaussée du musée, avec une remise de prix en novembre.

image archive
La Monique : une fresque du souvenir au Musée Maritime