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Après 6 mois, et sans perspectives de reprise de l’activité, l’industriel engage la procédure de mise en sommeil. La SLN ne peut toujours pas accéder au site qui a été vandalisé à de multiples reprises.

Il y a eu beaucoup de vols et des destructions d’équipements par incendie. Des exactions qui ont touché les ateliers, les bureaux administratifs, les laboratoires ou encore les villas des employés. Sans oublier les engins comme les bulls, les pelles et les camions... Sans compter les blocages, les agressions verbales, les menaces et les intrusions répétées sur les installations.  

La semaine dernière, la SLN a informé l’ensemble des partenaires sociaux et les institutions de cette procédure. Jusque-là, les salariés étaient pris en charge au titre du chômage partiel qui était assuré jusqu’à samedi. La mise en sommeil du site vise, selon un communiqué interne de la direction, à leur permettre de bénéficier du chômage total exactions. 

Sous titre
Une décision prise en raison des blocages qui persistent depuis le mois d’avril mais aussi d’un nombre important d’exactions sur les installations de la SLN…