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Selon la police, près de 500 militants indépendantistes ont défilé, au plus fort du mouvement.
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Un cortège qui a avancé de la place du Mwaka, en baie de la Moselle, jusqu’au siège du gouvernement, au centre-ville. Le président de l’UC, Daniel Goa, était notamment présent dans la manifestation.
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Ce défilé a été émaillé d’incidents à mi-parcours : quelques débordements se sont produits vers midi, lorsque plusieurs individus ont commencé à lancer des projectiles sur les gendarmes : des bouteilles, puis des pierres. D’autres ont frappé les boucliers et les véhicules des militaires. Des scènes de violences, malgré la multiplication des appels à la retenue de la part des leaders de la manifestation.
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Trois gendarmes ont été légèrement blessés. S’en est suivie l’utilisation de gaz lacrymogène, puis l’interpellation d’au moins 4 individus impliqués dans ces méfaits. Deux personnes ont été placés en garde-à-vue, tandis que l'identification d'autres fauteurs de troubles est en cours. Mais les forces de l'ordre n'ont pas répliqué, et la manifestation a ensuite pu se poursuivre dans Nouméa.
Une fois le calme revenu, le cortège est ensuite venu jusqu’aux fenêtre du gouvernement. Le cahier de revendication de la CCAT a été transmis au gouvernement et au haut-commissariat.
Le gros du cortège s’est ensuite dispersé dans l'après-midi, avec l'arrivée de la pluie, dans le centre-ville de Nouméa, et au Mwaka.

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Légères échauffourées en marge de la visite ministérielle