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Lors du débat sur la réforme de la TCG, l'élue du Congrès Marie-Line Sakilia a tenu des propos pour le moins outranciers.  L’élue sans étiquette de la mouvance indépendantiste, qui n'en est pas à son coup d'essai, a cette fois-ci carrément accusé les chefs d’entreprises d’avoir incendié leurs propres entreprises lors des émeutes.  

Des propos qui ont provoqué un tollé, et contraint la présidente Veylma Falaéo à suspendre la séance. Mais ces propos ont aussi provoqué une vive réaction du Medef qui estime qu’il est honteux d’entendre dire que certaines entreprises auraient été brulées par leurs propres propriétaires. Ecoutez la présidente du Medef, Mimsy Daly. 

Et dans un communiqué, le MEDEF souligne qu'il est de plus consternant d'accuser les entreprises calédoniennes de discrimination envers certaines communautés ( NDLR: comme l'a fait la semaine dernière le bureau politique du FLNKS )  à l'heure où tous les efforts de celles-ci sont tournés vers la sauvegarde de l'emploi et de leur survie pure et simple. 

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L'élue de la mouvance indépendantiste, qui siège sans étiquette, a créé la polémique lors de l'examen de la réforme de la TGC, obligeants la présidente Veylma Falaéo à suspendre les débats.