Pour la directrice nationale de l'IEOM, les incertitudes institutionnelles et les tensions sociales dans le nickel sont les raisons principales de la faible croissance du PIB l’an dernier, qui a progressé de seulement 1%. Très loin des 4% annuels affichés lors des années fastes 92/2012. Elle reste en revanche optimiste pour l’exercice 2019 grâce à la remontée des cours du nickel mais aussi à la programmation de chantiers structurants tels que le projet Lucy de l’usine Valé, celui du Carré Roland, ou encore du centre médical du Pacifique.
Ajoutons côté démographique, que la population calédonienne a augmenté de 15% entre 2009 et 2019 soit + 37 000 personnes.
Pour la directrice générale de l'IEOM, c’est un indicateur qui montre que la Calédonie est un territoire d’avenir et qui incite les entreprises à investir.