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Vale répond aux attaques du collectif Usine du Sud = Usine Pays. Pour s’opposer au projet de reprise, le collectif évoque les questions environnementales et au cœur de son combat se trouve le barrage KO2.
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Vale tenait ce matin à tordre le cou aux idées reçues lors d’une visite à Goro. L’entreprise a d’abord souhaité remettre les choses au clair concernant les risques d’effondrement car l’USUP dit craindre une catastrophe comme celle du barrage brésilien de Brumadihno. Pour Claire Wagner, responsable du pole Géoscience de Vale Nouvelle Calédonie, en charge du barrage, les deux situations sont totalement différentes. Pour autant pour éviter tout risque, le barrage est suivi en temps réel par les équipes de Vale NC grâce à des centaines de capteurs et par satellite.


En plus du suivi interne, plusieurs experts internationaux réalisent des études sur le barrage chaque année, c’est pourquoi Vale se dit serein concernant la demande de contre-expertise de KO2 formulée par l’USUP.


Les salariés de Vale sont très attachés à l’impact environnemental de leur outil de travail et ils affirment que le futur repreneur sera contraint, lui aussi, de respecter des normes drastiques. Les responsable de l'environnement chez Vale suivent également la présence de la faune dans les rivières et notamment dans le creek de la baie nord après les fuites d’acides de 2009 et 2014. Il a constaté que toutes les espèces de poisson était de nouveau présente dans ce secteur.


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Vale répond aux attaques de l'USUP