Sonia Backès ne présidait pas, hier, la séance de l'assemblée de la Province Sud, parce qu'elle était dans l'avion qui la ramenait de Paris où elle a participé aux discussions bilatérales.
Peu après son arrivée, elle a été l'invitée d'Elizabeth Nouar dans le magazine Transparence. Elle était interrogée sur le déroulement de ces bilatérales, sur l'ambiance qui a prévalut à Paris, sur la suite du processus et sur la prochaine visite du ministre des outremers Manuel Valls qui est attendu le 22 février.

 

Le journal sera suivi, comme chaque vendredi du magazine Transparence. Elizabeth Nouar reçoit cette semaine Sonia Backès, qui réagira notamment aux propos de Manuel Valls dans le journal Le Monde… Le ministre des outre-mer affirme que l’Accord de Nouméa est une trajectoire « allant d’une souveraineté partagée à une souveraineté pleine et entière ». Les loyalistes et le rassemblement déclarent dans un communiqué que Manuel Valls méconnaît l’esprit de cet accord et balaie d’un revers de main la volonté des Calédoniens qui ont choisi librement par 3 fois de rester français.

La poursuite de nos pages spéciales rentrée scolaire ce vendredi avec Manoel Van Aerschodt, directeur de la DDEC. Nous nous sommes intéressés, avec notre Invité du Matin à la rentrée scolaire dans les établissements de la DDEC, la direction diocésaine de l’enseignement catholique.

Le communiqué des loyalistes et du Rassemblement ce matin, en réaction aux propos de Manuel Valls tenus dans le journal Le Monde. Le ministre des outre-mer affirme que l’Accord de Nouméa est une trajectoire « allant d’une souveraineté partagée à une souveraineté pleine et entière ». Les loyalistes et le rassemblement déclarent que Manuel Valls méconnaît l’esprit de cet accord et balaie d’un revers de main la volonté des Calédoniens qui ont choisi librement par 3 fois de rester français.

Elizabeth Nouar présente le billet d'humeur.

Les abords de l’aéroport de Magenta ont été bouclés pendant 2 heures ce matin. Un mail a été envoyé directement sur une adresse de la CCI, gestionnaire de l’aéroport, avertissant qu’un engin explosif se trouvait dans le hall de l’aérogare. 

Depuis 9 mois, les assurances du territoire sont au travail pour faire face aux destructions, dégradations, perte d’exploitation causés par les émeutes. 
Souvent sous le feu des critiques, elles poursuivent leur travail pour indemniser les personnes qui ont subi la vague de violence du 13 Mai et des jours qui ont suivi.  
Où en sont les procédures ? A quelle vitesse se font les indemnisations ? Quelle politique de réassurance ?